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Restrictions médico-légales à la conduite automobile. Rôle du médecin généraliste
Boxho Ph , Eugene-Dahin B. , Ravache-Quiriny J. , Abati A. , Kettel M-F. , Beauthier F. , Vanparijs Ph , Lemaire E. , Giet D.
Rev Med Liege 2006, 61(5-6),500-508Résumé : La loi belge impose au médecin de prévenir son patient lorsqu’il constate une cause médicale d’inaptitude à la conduite automobile. Cet article passe en revue les défauts physiques et maladies, causes d’inaptitude médicale à la conduite, telles qu’elles sont énumérées et discutées dans les textes officiels. Ainsi sont détaillées les règles appliquées dans les affections neurologiques, les affections psychiques, l’épilepsie, la somnolence pathologique, les troubles loco-moteurs, les maladies du système cardiovasculaire, les troubles du rythme et de la conduction, les anomalies de pression artérielle, les affections des coronaires et du myocarde et les affections de l’appareil auditif et du système vestibulaire. Sont aussi résumées les normes concernant la fonction visuelle, l’usage de l’alcool, des substances psychotropes et des médicaments en général, les maladies du rein et du foie et le patient ayant subi une transplantation d’organe ou la mise en place d’un implant artificiel. La place de la responsabilité médicale, en particulier de la responsabilité du généraliste, est discutée.
